Les Aventures d'Artemis Fowl
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 Une malheureuse fanfic avec de désasttreux personnages

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AuteurMessage
Domovoï Butler
Plus grand garde du corps du monde
Domovoï Butler


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MessageSujet: Une malheureuse fanfic avec de désasttreux personnages   Une malheureuse fanfic avec de désasttreux personnages Icon_minitimeMar 8 Mai - 20:21

Voilà une fic que j'ai écrite. C'est relativement mauvais, je sais, mais je ne suis pas bon écrivain.


Première partie :

C’était Un sombre lundi matin, et Jacques Dupont se leva en pleine forme pour aller travailler. Il était l’assistant du vice-président d’une grosse société, et c’était un métier passionnant (enfin, d’un certain point de vue…). Il prit un déjeuner habituel, avant de partir à pied pour son chemin habituel, avec son costume gris… habituel. Il était en fait très casanier et ne pouvait supporter quoi que ce soit qui sortait de ses habitudes. Sa vie idéale se résumait à trois mots : métro-boulot-dodo. A cet instant, il n’imaginait pas un instant l’histoire invraisemblable qu’il allait vivre. Alors qu’il passait dans une petite rue qu’il prenait tous les jours, il eut le sentiment d’être oppressé, mais il n’y prêta guère d’attention. Il pensait à la superbe journée qui l’attendait, à classer des dossiers dans des tiroirs. C’est alors que tout se précipita. Deux hommes tout de noir vêtus surgirent d’une ruelle sur le coté, et le prirent en étau. Il regarda derrière lui, et il vit qu’un autre homme était derrière, lui coupant toute retraite. Il pressa le pas pour leur échapper, car comme beaucoup de personne, il était complètement parano, et se croyait traqué par des jeunes délinquants réducteurs de têtes au service de la mafia cubaine, aidés par des soldats du KGB déguisés en bretonnes. Mais j’ai le regret de dire qu’aujourd’hui, ses craintes n’étaient pas complètement infondées, comme nous le verrons plus tard. Malgré ses efforts, les trois jeunes gens, bien qu’ils n’étaient pas si jeunes que ça, furent bientôt à son niveau. Ils l’attrapèrent par les épaules, et, sans mot dire, l’entraînèrent vers une voiture noire aux vitres teintées garée dans la ruelle d’où ils avaient débouchés. Un quatrième lascar la conduisait, et il avait un énorme bouton sur le nez. C’est la première chose que vit Jacques, et il dit, après s’être bruyamment raclé la gorge :
- Excusez-moi, Mister, mais pouvez-vous m’expliquer quelle est cette sinistre plaisanterie ? Sachez que si vous voulez des microfilms ou des plans du gouvernement, vous faîtes erreur sur la personne, je ne sais rien ! Et en plus, vous avez un énorme bouton sur le nez.
Le conducteur lui répondit :
- Oui, je sais, mais j’ai tout essayé pour me débarrasser de ce bout… MAIS QU’EST-CE QUE C’EST QUE CE TYPE !?! QU’EST-CE QU’IL ME PARLE COMME CA !?! VOUS M’AVEZ RAMENE L’IDIOT DU VILLAGE !!!
Un autre type du groupe, qui était chauve avec une barbe rousse, lui dit :
- Tu sais bien que ce sont les ordres de M ! Qu’est ce qu’on y peut ? Je tiens à la vie, moi !
Le conducteur riposta :
- Mais pourquoi lui et pas quelqu’un d’autre ? N’importe quel quidam aurait fait l’affaire !
Le barbu répondit :
-Tu sais aussi bien que moi que selon l’ordi du doc, il a le profil idéal ! Pas de casier, l’abruti parfait… Aucun risque qu’il nous double !
Mais le conducteur dit avec un ton de défi :
- Et toi, tu sais aussi bien que moi que le doc est complètement fou !
Le barbu s’inclina :
-Là, tu marques un point… Bon allez, go to the labo !
Ils démarrèrent rapidement, et après deux bonnes heures de route, ils arrivèrent devant un grand hangar, et il semblait à Jacques qu’il n’y avait rien à dix kilomètres à la ronde. Ils descendirent et tirèrent Jacques hors de la voiture, puis vers le hangar. Il vit alors que le grand hangar, qui paraissait si vide de l’extérieur, était en fait une immense salle technique, avec un ordinateur tel qu’il n’en avait jamais vu. Il faisait a vue de nez plus de 5 mètres de large, et environ 2 mètres de profondeur. Devant, se tenait un homme, si on pu l’appeler comme ça, car il mesurait moins d’un mètre cinquante. Il avait des lunettes anormalement épaisses, laissant dépasser le haut de ses yeux injectés de sang. A cet instant, Jacques su que le conducteur n’avait pas menti à propos de celui qu’ils appelaient le doc.

Seconde partie :

L’effrayant petit bonhomme s’approcha d’eux avec une démarche particulière qui faisait un peu penser à un pingouin. Il se précipita directement sur Jacques, et, sans un regard pour ses ravisseurs, il l’attrapa comme un enfant mal élevé qui vient de recevoir un nouveau jouet. Il le regarda de ses yeux globuleux, puis lui tata les mains et le visage. Il le tira vers son engin avec une brutalité insoupçonnable chez un si petit homme. Il le posa violemment sur une chaise en métal et lui attacha les poignets et les chevilles. Jacques fut alors saisi d’une grande peur. Il était en train de réaliser qu’il venait de se faire enlever par une bande de scélérats tous plus fous les uns que les autres. Qu’allait lui faire cet étrange personnage, qui paraissait à la fois le plus intelligent et le plus fou de tous ? Allait-il l’exécuter froidement ? Non, ça n’avait aucun sens… Toujours était qu’une peur grandissante prenait possession de lui, le poussant et l’empêchant d’agir en même temps. Malgré ses efforts intenses, il ne parvint pas à dompter sa peur, même quand il vit le petit homme approcher, poussant une énorme machine devant lui. Ca y était, il allait se faire couper en deux par un laser venu de mars, il le savait… Le « doc » plaça la machine devant lui et… lui envoya une lumière rouge dans les yeux. Il s’exclama alors :
- C’est bien lui ! Les analyses de pupille sont positives ! Je vais avertir M que pour une fois, vous avez réussi…
Le chauffeur, qui semblait être le seul à rester lucide, lui dit :
- Ouais, ça va ! On n’est pas débiles quand même ! En plus, je ne vois pas pourquoi tu fais toute une comédie parce que c’est LUI, alors que n’importe quel abruti aurait fait l’affaire ! On dirait qu’on t’a ramené le saint graal !
Le « doc » préféra, semblait-il, ignorer son « collègue », et il se dirigea vers un téléphone mural. Il se tourna vers les 4 complices, et leur dit :
- Sortez ! M n’a pas confiance en vous ! Surtout toi, Paul !
Ils sortirent sans trop protester, et même Paul, le chauffeur, ne dit pas un mot. Le doc composa un numéro, et je suis malheureux de le dire, mais la personne qui décrocha était la personne la plus détestable que le monde ait jamais porté. C’était une femme terrible, et sous ses cheveux gras et longs se trouvait son visage répugnant couvert de pustule. Elle parlait d’une voix tellement rauque, que même un lion, s’il l’entendait, partirai se cacher. Peu de gens connaissaient son nom, et ceux qui le connaissaient évitaient de l’employer. On l’appelait N.

troisième partie :

La jeune femme, qui avait d’ailleurs plus l’apparence d’un épouvantail, et aussi son QI, dit de son effrayante voix :
- Ouais !? Qui me déranges ? Ah, c’est toi, doc… Alors ?
- Mais arrêtez de m’appeler comme ça ! Je suis professeur en physique chimie, et en technologie !
- Tu me feras penser à te mettre une droite quand je te verrai…
- Enfin… euh… Je voulais dire… Vous m’appelez comme vous voulez, hein ! Mais auriez-vous l’extrême gentillesse de me passer Mr votre frère ?
- Ok…
Elle se leva, se dirigea vers la porte de son bureau –le plus grand de la rédaction du prestigieux journal qu’elle dirigeait-, et elle hurla à s’en décrocher la mâchoire :
- Frangin ! Le doc veut te parler !
Un homme grand arriva en courant. Il toussa bruyamment, puis il dit de sa voix caverneuse :
- Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler comme ça, soeurette...
L’homme, que l’on nommait M, était la seule personne au monde à faire peur à N, contrairement à une de ses parentes, qui allait jusqu’à avoir peur des agents immobiliers. Ainsi, elle n’osa rien dire, ce qui ne l’empêcha pas de rouspéter dans sa barbe – Ce qui n’est ici qu’une expression, car vous vous doutez bien qu’elle n’avait pas de barbe, contrairement à son frère-. I prit le combiné, puis dit au doc :
- Alors, court sur pattes ? Ils l’ont eu ? Parfait, j’arrive tout de suite.
Dans son labo, le doc était pétrifié.
- Oui Monsieur… Bien Monsieur… A tout de suite, Monsieur…
Il raccrocha, puis se tourna vers Jacques. Il lui dit d’un ton solennel :
- Si tu crois en dieu, c’est le moment de faire tes prières. M et N entrent en jeu.
Jacques se demandait qui était ce monsieur « MnMs », mais toujours est-il qu’il ne semblait pas commode.
Il attendit 20, 30, 40 minutes, 1 heure peut-être, il n’en savait rien, sans que rien ne se passât. Il était toujours accroché, et ses poignets lui faisaient un mal de chien. Il entendit alors un bruit très désagréable à l’extérieur, comme un fauve qui n’avait pas mangé depuis 3 jours. Mais il se rendit vite compte que le fauve en question formait des mots. Il vit alors entrer un homme barbu, mais sans cheveux, suivi d’une femme très chevelue, mais sans barbe. Tous deux avaient une voix rocailleuse, mais celle de l’homme surpassait assez largement celle de sa compagne. Telle fut la description que se fit Jacques à ce moment-là. Les quatre kidnappeurs, qui étaient rentrés entre-temps, avaient leurs regards fixés sur le plafond ; le doc observait le sol intensément ; Jacques regardait les nouveaux arrivants ; et M et N regardaient tout le monde à tour de rôle. M dit :
- Alors c’est lui… Doc, détache-le ! Quand je pense que ce type est le futur ennemi public numéro 1…
Le chauffeur de la voiture dans laquelle Jacques se trouvait quelques heures plus tôt, interpella M :
- Vous allez donc enfin pouvoir nous expliquer tout votre plan !
M, stupéfait, lui dit :
- Tu es bien courageux de t’adresser ainsi à moi… J’aime ceux qui n’ont pas froid aux yeux. Venez tous ici, je vais en effet vous expliquer mon plan dans les moindres détails…

quatrième partie, et dernière du premier chapitre. Très mauvaise partie, mais nécessaire pour embrayer sur la suite de l'histoire. :

M se mit à expliquer son plan, tout en scrutant chaque membre de la compagnie :
- Eh bien voilà : Vous n'êtes pas sans savoir, même vous, Mr Dupont, qu'un diamant d'une valeur inestimable à été transféré récemment au musée de Bruxelles. Et bien, ce diamant, je vais m'en emparer. Comment, allez-vous me dire ? Et bien, mon plan réside dans le produit que notre ami le doc à réussi à mettre au point, grâce aux "fonds" que j'ai arnaqué à mon nigaud de frère, à la banque Pal Adsu. Ce produit, ce sérum, si l'on peut dire, permet de faire oublier complétement au "patient" ce qui s'est passé dans les 15 jours qui précèdent l'administration, ce qui a conduit dans 95% des cobayes à un bouleversement ammenant à la folie. Nous allons donc, après une courte préparation, envoyer cet abruti dans ce musée, où, étant un abruti pur, il se fera rapidement repérer. Il s'emparera du diamant, nous le fera rapidement passer par des moyens qui lui seront indiqués, et lorsque la police arrivera sur les lieux, il sera tout seul à l'attendre. Il se croira quinze jours plus tôt, et aura totalement oublié que nous existons. Ils auront le coupable, filmé sur toutes les caméras du musée, et ils n'auront plus qu'à le coffrer. Il ne leur manquera plus que le diamant, qui sera avec moi, retiré dans un coin du globe après le coup de ma vie. n'est-ce pas parfait ?
Jacques le regarda, pétrifié. Ce n'était pas possible... Il ne pouvait pas faire ça ! Le capturer dans la rue, tout d'abord, puis se servir de lui comme ceci, et enfin le laisser dans une telle m**** ! Il ne le ferait pas, c'était évident ! Dès qu'il l'auraient laché, il irait voir les policiers, et il les arrêterait ! M le regarda et dit :
- Mais j'imagine que notre ami n'est pas tout à fait disposé à se plier à ce plan, n'est-ce pas ? Il compte certainement se faire la malle dès que n,ous l'aurons laché dans le musée ! Mais je tiens à lui dire que de toutes façon, le sérum lui aura été injecté, si bien qu'il perdra de toute façon la mémoire, mais nous voulons qu'il vole le diamant avant, n'est-ce pas ? Et bien, notre tireur d'élite posté à distance lui apportera sans doute toute la motivation nécessaire ! N'est-ce pas, mon cher ?
Il se tourna vers Jacques, qui était bouche bée. Il s'excita :
- Oh ! Je t'ai parlé toi !
Et sur ce, il lui colla une baffe magistrale. Jacques s'étala d tout son long, puis il se hata de dire faiblement :
- Oui monsieur, je suis d'accord avec tout ce que vous avez dit.
- Ca vaut mieux pou toi ! Non mais quelle racaille non mais je vous jure !
Puis, sur d'un ton ferme, il dit :
- Allez, nous allons vers ce qui sera notre QG lors de cette prochaine semaine. Allez, bougez-vous !
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